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| Sujet: Avalanche au supermarché [Caleb] Lun 30 Aoû - 15:55 | |
| -Oh mon dieu ! stop stop stop !!
Ce fut les petits cris que je ne pus m'empêcher de pousser quand je vis tous le rayon du supermarché où se trouver lots d'essuie-tout, lots de papier toilettes, etc.. s'écrouler version Domino days et ça sous mes yeux . C'était une catastrophe et tous ca à cause de moi. J'avais simplement voulu attraper le lot d'essuie-tout en papier recyclé qui était caché derrière les autres. Et voilà ce que ça me coutait de vouloir aider notre chère et bien-aimée planète ! Voilà qu'à présent je m'étais fait remarqué comme personne et j'avais totalement honte.
Ce matin n'était visiblement pas une journée pour moi ! Le premier signe de cette malédiction était le réveil qui n'avait pas sonné. Cette antiquité que j'avais ramené du Montana était tombé en panne. Et oui à ce moment là j'aurais du me doutés de la journée qui m'attendait. En effet, à cause de cet évènement j'étais arrivé en retard à mon cours de communication. Et comme on dit, jamais deux sans trois, non ? Je venais juste faire mes courses et voilà que je devais lutter contre une avalanche de rouleaux d'essuie-tout. Par chance je réussis à tout stopper mais j'étais contrainte de tout ranger à présent. Comme visiblement personne ne semblait vouloir m'aider je commença à ramasser les differents lots et les remettre à leur place quand ma main en effleura une autre.
Je levai les yeux et vit qu'un jeune homme était venu m'aider à remettre tout en ordre. Je me contenta juste de le remerciai ce qui, pour quelqu'un comme moi, était déjà un exploit. Non pas que je ne remercie jamais personne mais plutôt parce que j'étais quelqu'un de très timide et qu'en présence d'un inconnu, je perdais étrangement ma langue. |
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Caleb Matthews
Messages : 26 Date d'inscription : 29/07/2010
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| Sujet: Re: Avalanche au supermarché [Caleb] Dim 12 Sep - 18:54 | |
| Le vendredi matin, tout comme les autres jours de la semaine, c’était pour Caleb avec le même rituel qu’il débutait sa journée. Il posait toujours le soir avant d’aller se coucher son portable sur sa commode, loin de son lit. Ainsi le lendemain matin, quand la musique se déclenchait, le jeune homme était obligé de se lever pour aller l’éteindre. Sa méthode était très ingénieuse, il savait que sinon, il l’éteignait et refermait les yeux en marmonnant « Encore 5 minutes » . 5 minutes par 5 minutes, il se rendormait et se réveillait souvent tard et après c’était la course pour arriver à l’heure à ses cours. Mais avec sa méthode, tout se déroulait parfaitement. Il se levait, passait sous la douche pour se réveiller et la journée pouvait démarrer. Comptant prendre son petit déjeuner, il ouvrit le frigo et chercha à tâtons le lait occupé à regarder les informations à la télé. Le lait était manquant au rendez-vous. Il le chercha dans son frigo puis dans les placards, il y en avait plus. Il ne restait pas grand-chose dans le frigo, seule une pomme et un yaourt se bagarraient en duel sur l’une des étagères. Ce que ca signifiait : courses Obligatoires après sa journée de cours.
Comme prévu, il débarqua au Shopping Center. Il s’était donné un timing, vingt minutes plus tard, il devait avoir fini et être déjà reparti pour aller nager. Il n’aimait pas vraiment faire les courses. Alors qu’il bifurquait dans le rayon des Essuie-tout, il se demanda ce qui avait bien pu se passer. Des lots étaient éparpillés un peu partout et il remarqua alors au milieu, une jeune femme qui était loin de lui être inconnue. C’était elle…La fille à qui il avait copié le pouvoir de guérison, il en était persuadé même si il ne l’avait jamais vu faire, il avait le pressentiment qu’elle avait cette capacité. Il l’avait revu par la suite, tout au moins croisé, mais elle n’avait pas prêté attention à lui.
S’aggroupissant, il ramassa un lot de papier et le bloqua sous son bras, en attrapant un autre effleurant alors du bout des doigts sa main.
Ne me remerciez pas…
Un silence s’installa par la suite quelques secondes à peine, alors qu’il ramassait un troisième lot
Ce n’est pas vraiment votre jour de chance, peu de monde se fait attaquer par une armée d’Essuie-tout
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